[rp personnel]la vie d'un mercenaire

Prologue

An 2500, date que toute créatures vivantes maudit, jour où le bonheur de nos ancêtres a mené à la fin du monde comme on le connais, ce fut le début des mutations de notre espèces la divisant en cinq races:les démons, les orcs, les hommes, les nains et les elfes mais cet année marque aussi le retour des dieux dans notre monde, se battant pour s'approprier des adeptes.
Au même moment la vitesse de rapprochement des continents a augmenté.
Maintenant 365 ans après cet événement, nous humains ne sommes plus que des proies pour les autres races .Les elfes,les nains et les orcs ont juré fidélité à un dieu ou un autre mais tous les dieux ne veulent qu'une chose ; anéantir les autres dieux, les hommes et les démons. Nous avons perdu notre splendeur d'antan, nous avons sacrifié nos technologies il ne nous reste plus rien sauf une vie de fuite. Pour ceux qui ne vivent pas dans les citées, la vie n'est pas mieux car seulement 4 de ces citées sont correct ou plutôt dans lesquelles ont ne risque pas de mourir de la peste ou d'autre maladie similaires mais on pourrait quand même les confondre avec les pires rues du moyen-âge.


Chapitre1

Un homme se leva et monta à l'étage de cet auberge .elle était petite, sale pourtant c'était la meilleure de la ville, elle disposait de huit chambres à l’étage, on y montait grâce à un escalier à demi pourri, un âtre consumait une bûche. J'allais aller me coucher quand un soldat entra et demanda :
"Y a-t-il ici des hommes prés à protéger leur ville? Si vous êtes mercenaire sachez que vous serez récompensé."
Je me mis debout :
"Quel est cet récompense et de quoi devons nous protéger cette ville ?
-Une semaine de vivre ,vous aurez aussi le privilège de choisir vos armes dans l'armurerie de nos soldats pour que vous puissiez combattre les orcs qui nous attaquent, de plus pour chaque bêtes exécuté vous gagnerez 50 pièces, me répondit le soldat
-Enfin un petit échauffement, dis-je en me réjouissant de cette nouvelle."
Un homme cachant son visage derrière une capuche, se découvrit montrant qu'il était en fait un démon, il ressemblé aux hommes à part que ces yeux étaient de couleur argent et que ses cheveux étaient de métal, prit la parole:
-Tu me fais rire, tu crois vraiment pouvoir en tuer un seul sans l'aide de personne, tu sais contre...
-bien sûr que je peux tuer de ces bêtes sans cervelle
-je te propose un pari si tu l’emportes, je t'offrirai l'or que j'aurai gagné mais si tu perds tu seras mort, il suffit que tu survives au combat qui se prépare sans l'aide de personne, 10 orcs chaqu'un, ça te vas ?
- oui mais alors il faudrait demander aux autres de ne pas s'en occuper, bon allez on y va!"
Je sortis de la taverne et courus vers les murailles, arrivé là bas je dégainai ma dague et une épée -à ce moment là j'aurai préféré avoir des colts mais maintenant on en trouvait plus. Je sortis de l’enceinte de la ville et je fonçai vers le premier orc, alors que le démon en tua deux à l'aide de sa magie, je m’abaissai pour éviter la masse du monstre elle me frôla mais se fut suffisant pour m’envoyer bouler, je me remis sur pieds, lança mon arme vers mon ennemi, il l’évita mais celui qui se tenait derrière fut toucher au niveau de la tête et s’affala. Je repris mon combat contre ma première cible mon épée lui entailla le torse, il riposta en m’envoyant son arme dans le visage, je bloqua son coup grâce a mon épée puis, d’un fulgurant coup, je fis exploser son crâne. Je reçus des morceaux sa cervelle dans les yeux. Voyant ma faiblesse une de ces créatures fonça sur moi, je levais mon épée pour l'embrocher vif. Je retirai mes armes de mes victimes puis je rentrai dans la bataille écorchant un maximum de ces bêtes pour en finir au plus vite je me rendis compte que plus aucun ennemi n’était debout et que moi je m’en sortais avec de faibles plaies et quelques côtes cassées. Je repartis vers la citée pour réclamer ma récompense et celle que me devait ce démon.

[HRP]:merci






Une fois de retour dans la ville je m’orientai vers l’auberge où je devais retrouver cet insolent qui a osé me lancer un défi me croyant faible, il était là assis tranquille tenant deux bourses qu’il me lança quand je me fut approcher puis il engagea la discussion :
« J’ai pris la tienne je pensais même devoir te l’apporter mais tu es là par contre la prochaine évite d’être aussi lent.
-C’est facile à dire quand on est un démon, n’est ce pas? Et si tu veux te battre je suis ton homme.
-Pour qui tu me prends me battre contre un être aussi faible que toi serais un signe de lâcheté. »
Je me dégaina ma dague et l’appuya sur la gorge de cette monstruosité, j’allais le tuer quand il disparut je ressentis une douleur dans le dos puis plus rien. Je me réveillai dans une salle où il ni avais que des lits, j’étais seul je me relevai quand apparu cet personne que je détesté de plus en plus, il s’approcha avec un sourire narquois. Je me serais jeté sur lui si j’avais moins mal. Il m’accosta :
« Enfin réveillé madame la belle au bois dormant. La prochaine fois ne t’attaque pas à un ennemi supérieur à tous les niveaux.
-Tais-toi imbécile tu te crois meilleur que moi alors que tu es misérable si j’avais été en pleine forme tu serais mort.
-comme ça tu peut me tuer alors un jour je viendrai t’affronter en attendant survie. »
Et il disparu, je le cherchai dans la salle mais je ne pu le retrouver. Je décidai d’aller explorer la ville car le jour de mon arrivai elle la plupart des rues était bloqué par des soldats. Je pris la rue à droite du pseudo hôpital, je vis une armurie, j’y entrai, j’examinai les armes quand je vu une dague ayant un manche sur lequel était inscrit des symbole démoniaque ne connaissant guère c’est symbole je ne su point les traduire mais je la prit, je sortit ma bourse contenant mes milles pièces d’or et je payai.
En sortant je fus éblouis par une lumière brûlante je vis que les hommes dans la rue eux aussi étaient éblouis, certains avaient des brûlure je cherchai les causes de se phénomène, un elfe tenant un sceptre et été habillé d’une tunique que les prêcheur de Râ portaient. Je me maudis d’avoir mis en colère le démon, il aurait été d’une grande aide face a cet être étant devenu le jouet d’un dieu, je couru vers lui tenant la dague juste acheté. Plus je m’approcher, moins la route été praticable car les corps des soldats obstrués le passage à moitié carbonisé. L’elfe me vu et m’envoya des boules enflammées, une douleur à l’épaule gauche qui me déstabilisa se qui eu pour effet de me faire tomber je me releva, fonça a quelques pas de lui, j’envoyai ma dague il ne chercha point à l’esquiver, il leva la main et le temps se stoppa je ne pouvez plus bouger mais mon arme continuais à voler en direction de sa jambe, il sursauta. Quand ils entrèrent en contact une explosion eue lieu durant laquelle je fus projeté contre la muraille qui était pourtant à plus de vingt mètre de moi. Ce prêtre avait fais beaucoup de dégât matériel et humaine. Je me traînai jusqu’à un bâtiment espérant que quelqu’un puisse me venir en aide. Je cherchai aussi à retrouver ma puissante dague mais je supposai qu’elle avait été détruite dans cette explosion inexplicable, j’arrivai près d’une maison qui n’avait pas l’air trop endommagé, je tapis à la porte de chêne. Un homme vint m’ouvrir avec un air dur, il avait dû assistai à mon combat et devait me confondre avec un sorcier et donc si il ne me tuait pas cela voulais dire qu’il me garderai à l’œil j’entrepris de prendre la parole en me redressant un maximum :
« Bonjour monsieur voudriez vous bien me laissé rentrer dans votre maison car je suis grandement fatigué et assez amoché.
-Si vous avez de quoi me payer je vous laisserai manger et vous reposer dans mon humble demeure !me répondit-il en regardant ma bourse.
-Mais bien sûr vous serez bien payé par contre je ne dormirai point car cette ville est vraiment agitée ces jours-ci.
J’entrai c’est alors que je vis que ce n’était point une simple maison mais plutôt une maison de plaisir où l’on pouvez finir nos nuits en compagnie de charmante personne pour un peu d’or. Une femme avec de belles courbe été armé d’un sabre et avait une armure de cuir ; elle me regardait avec un regard reflétant la peur mais elle gardait sa main sur le pommeau de son arme signe qu’elle serait prête a me tuer au moindre geste déplacé et ce n’était pas les tentations qui manqué dans se genre d’endroit. Je montai à l’étage à la suite d’une pseudo serveuse pour avoir une chambre, avant qu’elle ne parte je lui demandai si je pouvais avoir à manger. Elle revint quelques minutes plus tard avec un assiette de poulet avec des frites, je lui donna cent pièces d’or mais elle n’avait pas du comprendre car elle vint s’asseoir sur le lit, voyant son erreur je lui expliqua :
« cet or n’est pas pour ce que vous pensez mais pour payer se que je dois pour ce dîner et cette chambre ainsi que les réponses a quelque questions que je veux vous posez sur l’accident de tout à l’heure.
-Je suis désolé mais d’habitude quand on m’offre autant d’or ces pours que je passe la nuit avec le payeur. Et sinon quels sont ces questions ?
-Je voudrais savoir comment cela se fait que cet elfe soit entré dans cette citée dans la tenue des partisans d’un dieu alors que presque tous les elfes qui rentrent ici sont exécutés dans le quart d’heure qui suit son entrée ?
-Je crois qu’il était le chef de ces orcs et qu’il est venu vengé la mort de ces esclaves pour son entrée il a tout simplement tué tous les gardes et sans vous la ville serait plus que ruine mais elle était quand même bien abîmée. »
Je la congédiai et je commençai à penser quand je partirai de cette ville

Je déterminai que je partirai dans une semaine à ce moment la je devrai être au maximum de ma force et entre temps vu l’agitation des derniers jour cela me permettrai peut-être de me faire un peu plus d’or. En attendant je devais dormir sinon jamais je ne serait prés a combattre, je m’endormis quand je me réveillai la pseudo serveuse de la nuit dernière dormait à mes côté toute habillé moi de même il n’y avait rien à craindre, toute mes affaires était en place, je me releva et descendis pour voir si je pouvais avoir à manger. Quand je fus restauré, je décidai d’aller réveiller la belle demoiselle à qui j’avais dû emprunter la chambre. Une fois fais je lui proposa de faire un tour dans la ville pour qu’elle puisse me faire visité, elle accepta et nous partîmes vers les quartiers sud où la plupart des marchands s’installé. Je m’avançai pour regarder leur produit quand un chou me frappa dans l’oreille, il venait d’une dispute entre un métallurgiste et un vendeur de choux à cause d’une histoire de choux pas frais, la charmante créature qui m’accompagné le ramassa, vérifia qu’il était bon et le mis dans son panier. Nous repartîmes au moment où un espadon immobilisa le vendeur de métal. Après tant d’agitation nous allâmes vers le quartier est où la plupart des tavernes était construites, j’entrai dans celui où j’avais rencontré ce démon pour voir si il n’était pas là. Je ne le vis point, déçu je sortis de l’auberge pour celle que ma compagne avait choisi. Une fois à l’intérieur je commandai un verre d’hydromel et une assiette de ragoût, il devait être prés de deux heures de l’après midi, je décida que l’heure était venu d’aller inspecter le campement des pantins de Râ. Je laissai la belle seule et m’aventurai dans la forêt avoisinante ; elle était sombre, je dus me marcher à tâtons jusqu’à ce que je tombe sur la clairière où se trouvait ce que je cherchais. Ce n’était pas un campement mais plutôt une simple bâche bougeant au grés du vent, dessous je pu distinguer une souche sur laquelle était amassé une montagne de papier. Je m’en approchai, je déplaçai les documents en espérant ne pas déclenchai un quelconque piége à la base de se fouillis je découvris un livre portant les marques bénites de Râ, je l’ouvris et une onde de terreur parcouru mon corps, je me sentis vidé de mes forces quand apparu un aigle qui mesurait plus de trois mètres de haut et ces ailes couvrais plus de six mètres portant une boule de feu au-dessus de sa tête signe qu’il appartenais à la même divinité que le livre, je compris alors qu je venais de l’invoqué et que le seul coût fut mon énergie je n’étais point en mesure d’affronter cet chose. Mais je cherchai quand ce qui me prmetterai de l’immobilisé je vu un arc et des flèches prés d’un feu quasiment éteint, j’y accouru mais l’oiseau m’attrapa avec son bec et m’installa sur son dos, puis s’envola. Je remarquai qu’il y avait des rênes, je les pris donc, l’énorme bête se laissa contrôler sans aucune difficulté je l’emmenai vers les remparts de la cité, ils n’y avaient plus de soldat depuis le passage du prêtre, j’atterris des citoyens étaient prés de la porte armé de fourche. Je sautai à terre, ils me reconnurent l’un d’entre eux vint dans ma direction :
« Quel est ce monstre venu des entrailles de Râ ?êtes vous l’un de ses partisans ?
-Jamais je ne serais sous la coupe de ces fous et cette bestiole je l’ai libéré et elle semble m’obéir du moins j’espère.
-Alors soyez de nouveau le bien venu, bien sur votre bête ne rentre pas dans notre paisible ville.
- Paisible villes vous dites paisible après l’attaque des orcs et de ce prêtre a moitié décervelé, vous êtes bien optimiste par contre si j’étais vous je renforcerais la garde au niveau de ces remparts car vous croyez vraiment pouvoir battre une horde d’elfe avec ces outils.
Je repartis vers la maison de plaisir mais avant j’inspectai la rue pour retrouver la dague ayant terrassé cette incarnation du mal. Je la retrouvai, sous un bloc de pierre, je retournai là où se retrouvais certaine personne obscène. J’allai voir le propriétaire pour savoir si je pouvais dormir chez lui ce soir, il accepta, en échange je devais travailler pour lui car il avait reçu des menaces si il continué son commerce. Après avoir acceptai ce contrat à l’écrit je montai dans la même chambre que la nuit dernière mais au lieu de me coucher, je pris la nuit pour nettoyer mes lames du sang impur qui les empêché de coupé proprement, la demoiselle qui occupait la chambre arriva vers minuit et s’endormit très vite. Une flèche vint se planter à mes pieds après avoir éclatait la fenêtre, je n’aurai pas dû attendre longtemps avant que ma mission commence réellement. Je passai par la vitre pour descendre dans la rue située à deux étages en dessous. Une fois en bas, je disparu dans l’ombre et cherchai les hommes qui attaqué, j’entendis un battement d’aile, je levai la tête et vis kled (l’oiseau) tenant un homme dans son bec et d’un coup un fine pluie de sang s’abattit avec quelque morceau que la créature n’avait pas mangé mais une autre pluie tomba mais cet fois de flèche kled s’écrasa mort, je fonçai vers la source, ils étaient dix. Mes membres ne m’obéissait plus, je n’étais plus moi-même j’étais en train de tué a petit feu ces être qui m’avait séparé de ma monture quand tout fut fini je vu dans quel état je les avais mis, je les avait battu même mort, les mur autour était salis par les couches de sang frais et des morceau de cervelle était collé au fenêtre. Je ne compris pas pourquoi j’avais agis ainsi. Les hommes et les femmes habitant dans les environs commencèrent à sortir voir ce qu’il c’était passé, leur regard était remplis de peur devant moi et les restes à demi désarticulé que j’avais laissé. A ce moment je ne demandai qui avait pu me contrôler, est-ce un partie de moi ou ais-je été un simple pantin d’un des dieux qui se disputer le monde, je décidai de rentrer de la où je venais pour y finir la nuit et que le lendemain je partirai. Le lendemain je me rendis dans une taverne, je trouvai un marchand ayant besoin de garde pendant son trajet vers la seul cité où nain, elfe, démon, humain, orc se côtoyé sans s’entretuer car aucun d’eux ne se faisait manipulé par aucun dieu, cette citée se trouvait dans le nord où se situé avant le Pas-de-Calais, c’était la seule ville armée avec des anciennes armes, j’acceptai se voyage d’une semaine. Nous partîmes après avoir recruté un homme sachant utiliser des explosifs et un nain maniant très bien la hache.

Chapitre 2

J’étais épuisé, m’être téléporter trois fois avez été fatiguant tout ça à cause de cet humain qui se croit supérieur à moi l’un des plus puissant démon en plus de cela j’avais utilisé mes pouvoir contre ces orcs et un dragon avant de le rencontrer mais il faut pas qu’il se surestime il aura une place importante dans la destruction des dieux mais si il se croit supérieur il deviendra un de leur animal de compagnie. Il me fallait aller vers le sud pour aller affronter Hadès dieu des enfers, il faisait beaucoup trop de dégât pour attendre que ce stupide homme soit prés. Je décida de faire une pause en haut d’une colline quand le soleil se mit a frappé puissamment, suivi de boule enflammé puis s’évanouie, sûrement un prêcheur de quelconque divinité du soleil mais ce mercenaire avait dû lui régler son compte. Voyant qu’il n’avait sûrement plus besoin de moi de plus ça aurai été du suicide d’y retourner il devait déjà me haïr, de plus il devait devenir plus fort et si je l’aide au moindre problème il ne s’améliorera pas je décidai donc de reprendre ma route. Il me restait encore trois jours de marche pour arriver jusqu’à ma destination presque touristique. En attendant il me fallait déjà passer une mer. Je descendis la colline par la face sud en contre bas ce trouvé un port je payait un marin pour me faire traverser au bout de dix de navigation, je débarquai prés d’une vallée creusée par les nains qui la peuplé encore. Je pris l’apparence d’un nain puis je m’attaquai à la paroi du gouffre arrivé en bas je me retrouvai mêlé a des centaines de nains. Je progressai à coup de coude comme avait l’habitude de faire les nains. Je pris un tunnel à ma gauche un sorte d’ascenseur, il me mena sur le toit d’une tour de là partez un pont qui reliait le bâtiment et la face sud de la vallée. Jusque là tout allez bien, je continuai ma route. Quand le soleil venait à manquer j’étais devant une forêt, je décidai donc de me restaurer, je mangeai froid car un feu aurait été trop visible. Je repris ma route vers la forêt mais un groupe de gobelin m’attaqua, ils étaient une vingtaine, je sortit mon arme et plaça ma lame dirigé vers le bas, mes ennemis foncèrent sur moi je me concentra pour créé des serpent d’énergie et je les envoya vers eux, quatre furent dissous quand le premier arriva à distance de ma lame je la releva pour le fendre en deux puis je dégaina ma deuxième arme, je décapita deux autres de ces ignobles créatures, il leva l’une de ses armes mais un gobelin vint s’y empaler et me donna un coup de couteau dans la jambe. Je libéra mon arme et filant vers mes ennemis j’en tua trois durant ma course, je me retournai pour assené un coup du plat de sa main dans la nuque d’une autre de ces idiotes bêtes. Je créai un tourbillon de feu qui enflamma sept gobelins. Le dernier qui resta avait l’air encore plus bête que les autres, je pris donc facilement le contrôle de son esprit le forçant à se suicider.